.oO Framboose : l'histoire d'une framboise Oo. [A finir]

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- Pseudo :
Ha ha bonne blague !! Je suis Monstre-Horrible-Qui-Vient-Ici-Pour-Pas-Faire-Du-Flood. *niark niark* Non sérieux question suivante (mon pseudo est celui avec lequel je poste pour ceux qui auraient pas compris xD)



- Comment nous avez-vous trouver :
Il était
une fois, une fille qui avait découvert internet et les forums. Elle
s'inscrivit sur pleins de forums, dont un où on pouvait faire de la
pub. Elle vit la pub et décida de s'inscrire sur ce forum. Et c'est ce
qu'elle fit. *maintenant vient le point mort de l'histoire, mais
vraiment archi-mort*.



- Respecterez vous le règlement dans son ensemble, ou bien remettez vous en cause certains points :
Bah heu quand même que je vais respecter le règlement ! Ou alors peut-être que je vais remettre en question un ou deux points...



- Maintenant, racontes-nous une histoire tout droit sortie de ton imagination, complétement farfelue si possible, et munie d'une illustration en haut si possible :



C'était il y a un certain temps déjà, sur une île rayée de la carte depuis des siècles. Ce petit bout de terre avait été effacé des planisfères pour protéger les créatures qui y vivaient. Mais pour conter véridiquement cette histoire, il faut commencer depuis la naissance d'un être au coeur pur. La voici donc.

*

Tout débuta à l'époque où les Européens n'estimaient pas necessaire de coloniser les autres continent ey l'aFrique restait tranquille. Autant dire dans un lointain passé.
Ce jour-là, un jour comme tout les autres, chaus et sec, l'île de Madagascar compta un habitant de plus. Les naissances étaient rares sur ces terres encore peu peuplées, et ce fut la fête au village. Tout le monde voulait voir le petit Lao Janurii.
Les enfants se précipitèrent autours du bébé et les adultes s'empressèrent de féliciter les jeunes parents. Alors quelle ne fut pas leur surprise quand ils découvrirent un petit garçon à la peau blanche, toute blanche, ou plutôt rose !
Des dizaines de paires d'yeux étaient fixées sur l'enfant. Quelle étrange créature ! Outre sa peau empourprée, il avait aussi les cheveux châtains et les yeux très clairs comme l'eau du bord de la rivière. Les parents de Lao aussi étaient étonnés : comment leur fils pouvait-il être cette Chose, alors que tous ces ancêtres étaient de peau foncée ? Une absurdité totale pesait sur l'assemblée.
Au bout d'un très long moment où l'on entendait les mouches voler, le vieux Boumbé, doyen du village, rompit le silence :

"Ce garçon est un démon. Il faut l'immoler sans tarder. C'est sûrement une épreuve des dieux de la Forêt."

La mère de Lao, Tinga Janurii, poussa un cri d'horreur et de détresse puis éclata en sanglot, se cachant le visage dans ses mains. Des myrmures s'élevèrent parmi les villageois. Le pauvre mari de Tinga, Janurii, s'indigna alors :

"Jamais ! Il est peut-être différent, mais c'est notre fils. Nous l'aimons et nous en sommes fiers ! Personne ne touchera à un seul de ses cheveux."

Quelques applaudissement et des cris d'encouragement se firent entendre parmi cette petite communauté unie, et les voix qui s'étaient éteintes aux premiers mots de Janurii se ralumèrent plus fortment encore. Pendant ce temps, les traits de Boumbé s'étaient crispés, son visage renfrogné.

"Silence ! cracha-t-il. Ce monstre nous portera malheur à tous ! Nous le noyerons ce soir dans les eaux du fleuves, à l'heure du crépuscule. Je n'attend aucune contestation."

C'étaient les ordres de Boumbé le doyen, et persone n'osa répliquer. On ne discutait pas avec ce vieux grognon, jamais. Alors, malgré le fait que tout le monde sache que Tinga ne survivrait pas à la mort de son fils unique, personne ne protesta.
Contre toute attente, ce fut Tinga elle-même qui contesta la décision :

"C'est mon fils unique, implora-t-elle, et je ne l'abandonnerait jamais à vos noirs desseins ! S'il lui arrive quelleque chose j'en mourrai, c'est certain. Alors si vous vous entêtez à vouloir le sacrifier, nous partirons, Janurii etmoi. Je sais que les dieux nous approuverons et nous aiderons."

Le jeune père aquiesa sa femme. Une ambiance perplexe s'installe chez les villageois.
Janurii était le plus valeureux guerrier et un fin chasseur. Tinga quant à elle, était une formidable cuisinière. Le couple serait une grosse perte au village. Il fallait garder les deux jeunes gens coûte que coûte.
Boumbé sentit alors qu'une révolte aller éclater.

"Bon, bon, maugré-t-il pour calmer la foule, je vais accorder une dernière chance à ce gamin. Je consulterai cette nuit les étoiles. Mais si les nouvelles sont mauvaises, je ferai mon devoir."

Il tourna les talons et sortit de la case pour rentrer chez lui. Peu à peu, tout le monde fit de même et la petite maison des Janurii se vida.

Cette nuit-là, Boumbé posa son regard scrutateur sur le ciel bleu noiré. Il passa alors toutes ses heures de sommeil à interprété le moindre signe, sans succès. Il tombna finalement de fatigue dans la clairière où il était assis.
Au petit jour, en revenant sur la place du village, le doyen fut forcé d'admettre qu'il s'était trompé. Il laissa alors les Janurii tranquilles, continuant néamoins à guetter un signe des astres.


Durant les années qui suivirent, Lao fut presque élevé comme un enfant normal. Il avait eu un frère, Kanto,de cinq ans son cadet et qui, lui, était le portrait craché de son père, peau noire comprise. Malgré leurs différences, les deux garçons s'aimaient tendrement. Et cet amour était une véritable bénédiction pour Lao.
Délaissé et surtout, raillé par les autres enfants, le jeune garçon blanc n'avait d'autre ami que son cadet. Mais Lao avaitobligé son frère à tout de même se lier avec ses ennemis, lui justifiant que sa mise en quarantaine ne le prenait pas en compte. Kanto jouait donc le plus souvent avec ces moqueurs, laissant son frère la coeur brisé malgré ses dénégations.
Pour ajouter à son malheur, Lao ne connaissait aucun enfant de son âge, tous ayant minimum trois ans d'écart avec lui. Tous sauf une personne, une fille née quelques mois seulement après le pauvre garçon : Antsa. Et pour comble, Lao était amoureux de cette fille. Il faut dire que la jeune malgash était très belle avec sa peau chocolat, ses yeux mordoré envoûtant et ses tourbillons de cheveux noirs profonds tombant en cascade irréelle sur ses délicates épaules. La démarche éblouissante de grâce de son élégante silhouette et le sourire enchanteur qui illuminait parfois son visage aux traits fins accentuaient un peu plus encore sa beauté.
Mais il y avait du bon dans le malheur de Lao. En effet Antsa, loin de le railler, lui lançait parfois un sourire amical et compatissant qui réchauffait le coeur du blanc africain et lui faisait oublier toutes ses mésaventures l'espace d'un instant.

Lao avait à présent une vingtaine d'année. Il était devenu un jeune homme beau et fort à l'image de son père. Courageux guerrier, on hésitait toutefois quant à ses capacités.
Ce jour-là, il se rendit donc sur la plage, à deux kilomètre du village, pour y cueillir des bananes fraîches et chercher de l'eau salée. Il fallait pour cela rejoindre la rivière et la longer à travers la Forêt. Arrivé à l'embouchure de ce cours d'eau, Lao tourna à gauche et se dirigea vers la plage bordée de bananiers aux douces couleurs exotiques. Le flux et le reflux de la mer le berçait tendrement, apaisant son coeur.
Soudain, une amicale voix familière s'éleva parmi les feuilles vertes d'un arbre fruitier.

"Lao ! Lao ! C'est moi Antsa ! Viens s'il te plaît !"

Le jeune homme approcha du bananier parlant, le coueur battant à tout rompre, et aperçut l'élue de son coeur.

"Lao s'il te plaît, continua-t-elle, pourrais-tu me rattraper lorsque je sauterai de l'arbre ? La dernière fois j'ai desescalader, mais ma robe s'est déchirée et ma mère ma beacoup disputér ensuite. Alors je ne voudrais pas que ça se reproduise tu comprends... Tu veux bien ?"

Lao réfléchit un instant. Cela ne le dérangeait pas, c'était au contraire un honneur, mais un honneur interdit.

"Désolé Antsa, répondit-il, mais tu sais très bien que c'est impossible. Je suis pour tout le monde un monstre, un démon, et en tant que tel je ne dois toucher personne. En principe, je ne devrais même pas t'adresser la parole."

Un sourire compatissant se dessina sur le visage de la jeune fille.

"Lao, tu es peut-être un monstre pour tout le monde, mais pas pour moi."

Elle sauta immédiatement à bas de l'arbre et Lao fut bien obligé de la rattraper. il voulut ensuite enlevé ses mains de sa taille mais elle plaqua les siennes sur son bassin, empêchant ainsi le jeune homme de la lâcher. Sans que personne n'ait pu le prévoir, elle approcha son visage du sien, colla ses lèvres contre les les siennes puis s'écarta prestement. Lao cligna des yeux, croyant rêver.

"Tu n'aurai pas dû faire ça !" se fâcha Lao en se dégageant violemment.

Tristement, Antsa se laissa glisser le long du tronc d'un bananier. Ecartant des mèches bouclées de son visage, elle posa de grands yeux mordrés sur son bien-aimé.

"Ce n'est pas juste ce que tu subis, s'excusa-t-elle, et je comprend très bien que ce soit difficile d'admettre que quelqu'un t'aime quand tout le monde te déteste. Mais je te promet que je suis sincère. Allez viens, suis-moi, j'ai quelque chose à te monter."

La malgache prit le jeune homme par le poignet et l'entraîna vers l'embouchure de la rivière. Là, ils descendirent la plage jusqu'au petit plan d'eau qui reliait la cascade débutant trois mètres au-dessus et la véritable embouchure, celle qui marquait réellement la frontière entre la rivière et l'océan.
Antsa s'enfonça dans l'eau du petit bassin jusqu'aux épaules et fit signe à son ami de la rejoindre. Elle lui demanda ensuite de l'imiter, puis plongea en direction de la cascade. Lao s'exécuta et la suivit sous les eaux bouillonnantes qui massèrent son dos nu.
Quand ils ressortirent de l'eau quelques secondes plus tard, es deux jeunes gens se retrouvèrent dans une caverne simple et spacieuse. Aucun bruit ne se entendre mis à part le grondement de la cascatelle qui résonnait en une merveilleuse symphonie sur les parois rocheuses.
Grâce à la lumière bleuté que filtrait la chute d'eau, on distinguait clairement un petit mobilier : une table et quelques chaises de fortunes en petit bois.
Lao connaissait bien cette grotte pour y avoir espionner les autres enfants maintes fois. Il se souvenait de sa cachette, là, derrière cette pierre qui dépassait à la surface de l'eau. Tapis dans l'ombre, il assistait régulièrement aux réunions qui s'organisaient là, et où revenait souvent son nom.


[A suivre...]



- Ton record de post en un mois [Ne mentez pas s'il vous plaît. XD] :
Heu là franchement je sais pas trop... J'ai honte de l'avouer mais ça doit pas dépasser 30 messages (c'est sur un seul forum seulement)...

Edit : en ce moment j'ai posté 200 messages sur un forum en un mois. Je m'améliore xD



- Ton record de lignes en RP [Idem que ci dessus] :
Pff... Bah alors là je viens de compter, je sais pas si c'est le plus long que j'ai fait, mais bon. Alors mon record est de 36 lignes. Si vous voulez vérifier (c'est pas pour faire de la pub bien sûr) c'est là



- Ta devise :
Perso j'ai pas de devise particulière... Je devrais peut-être penser à en trouver une...



- Déja banni(e) pour Flood sur un autre forum :
Oh oh faire du flood ne veut pas dire que je suis un boulet !




- Et enfin, que penses-tu du flood en général :
Bah... c'est du flood ! (c'est bien pour avoir des messages dans les rp *boulet*). Non sérieux ça permet de mieux connaître les gens et de créer des liens j'aime bien.


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Au fait quelqu'un peut me dire si le début de l'histoire est juste pour savoir svp ?

Merci ^^ Je me dépêche ! ^^

lol ^^ j'en suis déjà à la moitié de l'histoire si tu veux savoir ^^ par contre je crains que ce ne soit un peu trop long non ? xD

Oui 'fin là t'imagine bien c'est le double de ce que j'ai déjà écrit lol